Semaine 5a bis - Famille Traviata (Malick)
Ici se déroule le troisième acte de la Traviata made in Malick !
Le premier était de draguer Violette Jocque à la fac, histoire qu’elle tombe amoureuse et ne le laisse pas tomber. Le deuxième était de s’approprier les avantages de sa nouvelle condition et de donner un peu de soi. Le troisième est d’assumer les conséquences de sa vraie nature…
(J'veux pas dire mais il y a une "Violetta" dans l'opéra de Verdi. Sacrée coïncidence)
Malick emménage dans un immeuble. Le proprio est quelqu’un de compréhensif pour ces choses-là !
Puis il s’achète immédiatement un téléphone pour appeler la belle blonde qu’il a aperçu lors de son dernier rendez-vous en ville avec Georgia
Ensuite il fait connaissance avec les voisins, surtout Philippe Fontaine qui vit exactement dans les mêmes conditions que lui : divorce et prié de vivre ailleurs
Sauf qu'il ne faut pas lui parler d’extra-terrestres. C’est bien là leur plus grande différence (Philippe cherche la beauté de la nature et Malick scrute les charmes de l'espace)
Les présentations étant faites, Malick peut se préparer à recevoir. Comme il ne travaille pas, il en profite (et son miroir bugue momentanément ^^)
Il est bien décidé à aller plus loin avec la jeune Georgia qui n’a d’yeux que pour lui
- Il est chouette ton appart’
- Ah mais ma puce, ça c’est le hall commun. Viens, je vais te cuisiner quelque chose…
- Dis-donc, t’assures en cuisine !
- Ca va, je me débrouille pas trop mal. Cela dit, pour ce soir j’ai voulu faire simple. Il ne faudrait pas que ça nous reste sur l'estomac
L’affaire est dans le sac, il est en terrain conquis. Mais pour lui, il est hors-de-question de l’épouser. Trop simplette à première vue !
Ce n’est pas ce soir qu’il dormira seul…
Le lendemain, il n’est pas très réveillé et manque la cuisson de ses omelettes. Toutefois, ce n’est pas cela qui va lui donner des hauts-le-cœur. C’est passé comme une lettre à la poste !
Ce matin, il prend du temps pour améliorer ses compétences. S’il veut un jour sortir de ce petit appartement, il faut bosser dur
- Ouais c’est qui ? (…) Robin ? (…) Je sais bien que t’es mon fils. Mais t’as une drôle de voix (…) Ah, je comprends mieux, t’es grand alors maintenant ? (…) Nan tu m’déranges pas, je faisais une sieste mais c’est pas grave. Qu’est-ce que tu veux ? (…)
- Si tu veux mon avis, ça fait trop gamin de jouer à la balle avec une fille… mais en même temps ça dépend de la fille. T’as quelqu’un en vue ? (…) Bon, en conseil 'générique', il vaut mieux éviter (…) Mais dis-donc t’as quelle aspiration dans la vie ? (…) Ah… mouais, comme ton grand-père. Après tout c’est logique, c’est lui qui t’a élevé si on peut dire (…) Bon, c’est tout c’que t’avais à m’demander ? (…) Ok, je te laisse alors (…) Le bonjour à Asael ? (…) Ah ok, lui aussi a grandi… J’en ai manqué des trucs en deux jours…
- J’espère que t’as pas perdu ton boulot à cause de moi
- Non, elle ne m’a pas virée... J'voulais savoir avant que ça n'aille plus loin... T'es déçu du mariage maintenant, non ?
- En fait, j'ai jamais voulu me marier. C'était la condition pour que j'ai mon commerce. On voit tous les deux à quoi ça a servi... Bref, pourquoi ?
- J'veux pas de mariage donc ça tombe bien
- En effet, on est fait pour s'entendre, ma belle ^^
J’ai l’impression qu’il n’aime pas dormir seul en fait !
Qu’est-ce que tu fais ?
- J’écoute. Y en a qui ont l’air de bien s’amuser à côté. On dirait pas, mais le couple d’à côté peut être très actif sous la couette
Y a vraiment que ça qui t’intéresse toi !
- Bah quoi, c’est le plus beau des sentiments l’amour, nan ?
Quand ça rime avec fidélité...
- Pfff… Rabat-joie !